Communiqué du CRAF sur le procès
à Toulouse d’Houria Bouteldja
(dimanche 9 octobre 2011)
Le 12 octobre prochain aura lieu le procès à Toulouse d’Houria Bouteldja , poursuivi par l’AGRIF pour propos racistes. Elle avait traité avec morgue, dans une émission de télévision, les Français de souche :de sous-chiens.
Il est amusant de voir les associations d’extrême gauche se mobiliser pour défendre la délinquante, ces mêmes associations proclamant par ailleurs haut et fort leur détestation de toutes les formes de racisme. Toutes ? Non, une « race » résiste encore et toujours, c’est la Française, la Française blanche plus précisément qui ne bénéficie d’aucune compassion. Pour ces honnêtes gens le racisme à l’encontre des Français est simplement toléré voire même encouragé.
Ils l’ont pourtant voulu cette loi antiraciste et voilà maintenant qu’elle s’applique aussi, et c’est tout le mérite de l’AGRIF, pour la défense des victimes indigènes, qui sont aussi les victimes du mépris des donneurs de leçon.
A l’AF , nous l’avons dit, écrit et nous le répétons : nous sommes résolument antiracistes. Il existe des textes notamment de Maurras et de Bainville qui l’illustrent clairement et qui montrent que ce n’est pas une volte-face de circonstance. Nous dénonçons en revanche une politique irresponsable d’immigration qui ravale les immigrés à du bétail, méprisante à l’égard des populations allogènes comme indigènes, et qui sert notamment une politique de plafonnement des salaires décidée au plan supranational par les dirigeants mondiaux du capitalisme financier. Cette politique totalitaire veut nier l’existence des peuples, de leurs particularismes et de leurs identités.
Aujourd’hui, de nombreux Français souffrent du racisme, ceux d’origine immigrée au niveau de l’emploi notamment (le plafond de verre), ceux d’origine française (de souche) qui ne peuvent plus se maintenir dans des quartiers à majorité immigrée.
Cette situation nous est imposée par un système consensuel et « bien-pensant » qui dépasse les capacités de nos élites politiques trop préoccupées par leur bien-être médiatique.
C’est donc très librement, sans haine et sans violence que nous voulons apporter notre soutien sans réserve à la démarche résolument antiraciste menée par l’AGRIF à Toulouse.
Si la loi ne devait pas s’appliquer dans toute sa rigueur dans cette affaire, alors cela voudrait dire qu’on nous ment depuis deux siècles et que les hommes ne naissent pas libre et égaux devant la loi.
Voilà un jeu dangereux auquel se livrerait la République qui s’est déjà édifiée, rappelons le, sur le charnier des innocentes victimes de la Terreur. Nous attendons le jugement et nous réagirons en conséquence.
Olivier Perceval,
Secrétaire Général du
Centre Royaliste d’Action Française